Le sacrifice de nos garçons et le déni des néoféministes
Ce n'est pas vraiment une nouvelle, mais c'est un tabou, donc on en parle peu, et mal, et à bas bruit. Je parle de la situation très inquiétante des garçons au Québec. Résumons-la simplement: les garçons décrochent de l'école. Ils sont de moins en moins présents à l'université. Ce qui veut dire qu'à moyen terme, ils seront déclassés économiquement, socialement et culturellement. Les mécanismes sociologiques et symboliques jouent contre eux. Tout cela était-il inévitable? L'émancipation féminine, que tous célèbrent avec raison, était-elle inévitablement appelée à produire des dommages collatéraux masculins? Écoutez la revue de l'actualité commentée par Alexandre Dubé et Mathieu Bock-Côté via QUB