Patrick Roy a pris le champ avec sa Ferrari

Patrick Roy a pris le champ avec sa Ferrari

ELMONT | À Montréal, Martin St-Louis aime bien parler par paraboles, expliquer ses idées par des allégories. À Long Island, Patrick Roy, lui, préfère les comparaisons, les anecdotes. • À lire aussi: La Ferrari de Patrick Roy dérape • À lire aussi: Patrick Roy: quand la passion du coach allume ses joueurs • À lire aussi: Patrick Roy n'est pas l'impulsif que l'on croit Avant la rencontre d'hier, l'entraîneur-chef des Islanders, appelé une fois de plus à expliquer son choix de préférer Ilya Sorokin à Semyon Varlamov, son gardien des deux premières rencontres, a raconté une histoire que lui a rappelée son père dans les heures précédentes. « À l'époque, François Allaire, notre entraîneur des gardiens